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Rédaction et panne d’inspiration

Apanne-idées-seorticle invité rédigé par Cynthia !

Que serait le SEO sans la rédaction de contenu ? Ce serait un peu comme un colibri sans ailes, il ne pourrait pas voler.

Et comment ça se passe quand on est en panne d’inspiration ? Parfois on a beau essayer de se concentrer et se forcer, on en vient à se mettre une pression pesante qui nous empêche de donner vie à notre page blanche. Au mieux, on parvient à pondre un article léger, au pire, on sort un truc moisi.

cyn zAvant d’aller plus loin, j’me présente, je m’appelle pas Henri Cynthia, je tiens le blog zetravelerz.com et j’ai l’honneur d’écrire une seconde fois chez mademoiselle Martin, que je suis depuis un petit moment maintenant. Merci de m’accueillir de nouveau Alex ! 🙂

Maintenant que les présentations sont (re)faites, revenons-en à nos colibris moutons.

Si on se réfère au dernier article d’Alexandra à propos de la ligne éditoriale, il semble important et primordial de respecter un rythme de publication régulier afin d’optimiser son référencement naturel (pour la partie contenu donc). Sauf que parfois, il y a des jours avec et des jours sans. Le mardi, les idées fusent et les articles se rédigent à la pelle alors que le mercredi, c’est la panne, le néant, le chaos, la dèche, la misère, la m*rde. On a beau chercher mais non, ça ne vient pas.

Quelles solutions à la panne d’inspiration ?

puzzle-solutions

Sous-traiter

Première éventualité, on peut sous-traiter et charger un autre rédac’ de nous pondre un article qui corresponde à la thématique de notre site. On peut passer par des plateformes prévues à cet effet (genre Odesk) ou demander à un ami (qui a des notions de rédaction web de préférence, évidemment). Au pire du pire, on peut solliciter la voisine …

Veiller, lire

Je mets volontairement la veille et la lecture dans le même nid dans la mesure où lire d’autres billets, d’autres blogs ou un livre de la table de chevet, peut permettre de tomber sur un thème qui boostera l’imagination et permettra de rebondir sur un sujet d’article qui ne battra pas de l’aile parmi les précédents posts.

Se distraire, s’aérer

Quoi de mieux qu’une pause et d’un brin de distraction pour reprendre de la plume d’oiseau ? Sortir, méditer un instant, regarder une vidéo, tricoter … Toutes les excuses sont bonnes pour décrocher de l’ordi et reposer son cerveau un instant pour faire quelque chose de non cérébral et repartir du bon neurone.

Faire un tour dans les archives

Cela peut constituer une bonne idée de raviver du contenu perdu dans les archives. Remettre au goût du jour d’anciens billets perdus dans les brins de paille des années 70 (le vintage est à la mode de nos jours!).

Poster une vidéo

Oui mais attention, une vidéo un minimum intéressante, histoire qu’elle respecte la thématique de votre site et qu’elle capte l’attention des lecteurs. Accompagnée d’un petit texte à côté qui ne demandera pas de faire chauffer ses neurones s’ils sont déjà carbonisés. Au passage, ça peut d’ailleurs permettre d’instaurer un autre format d’articles pour diversifier le type de contenu habituel.

Attendre que ça vienne

En cas de désespoir total et d’incapacité justifiée (ou non) d’appliquer l’une des solutions précédemment mentionnées, on peut aussi faire autre chose et attendre que l’inspiration pointe le bout de son bec. Exercice qui peut se montrer risqué pour des contraintes de temps (délai à respecter, emploi du temps chargé) mais qui peut s’avérer utile et bon payeur.

Avec ça, plus aucune raison d’avoir un trou dans le planning de publication d’articles.

<petite parenthèse> J’espère que vous avez noté le petit champ lexical de l’oiseau ? </petite parenthèse>

Images libres de droit source pixabay.com

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19 réflexions au sujet de « Rédaction et panne d’inspiration »

  1. Je plussoie Sam. Faut lire de vrais livres pour trouver une vraie inspiration.
    Sinon, j’ai une astuce pour faire plus rapide que rapide.
    Faites une traduc auto d’un article en langue étrangère et corrigez le manuellement.
    Voilà, j’ai donné la solution en une ligne, qu’on utilise tous depuis des années, lorsqu’on veut pisser des pages au kilomètre sans se triturer les méninges.

  2. Et là c’est le drame, je suis catégoriquement en désaccord avec le paragraphe veiller lire, car je vois une grande différence entre la veille sur internet (blog and co), où le niveau syntaxique et lexical est la plupart du temps proche du degré zéro de l’écriture, avec le fait de lire de vrais livres, pourquoi pas de grands auteurs, pour vraiment enrichir sa prose…
    Je le vois avec mes rédacteurs, ils y a ceux qui lisent, et les autres …

  3. @Samuel
    Je suis à moitié d’accord avec toi. D’une part, j’ai proposé la veille et la lecture ensemble pour la dimension “lecture”, d’autre part, il existe des blogs très bien rédigés (exemple, celui-ci)!
    Au passage, certains blogueurs proposent des articles de qualité et je reste convaincue qu’il existe des perles autant sur papier que sur le web.

    @Laurent
    Je ne suis pas du tout d’accord avec vous. Quelle différence entre un “vrai livre” et un blog ? Je trouve ça très fermé d’esprit de percevoir le livre papier comme une source d’inspiration supérieure à du contenu en ligne. Je pense qu’il faut simplement trier ses sources et à partir du moment où l’inspiration est là, qu’importe son origine pourvu que ça fonctionne.
    Aussi, je lis aussi bien des livres que des articles de blogs et il est évident qu’une personne ayant du vocabulaire varié et soigné se distingue des autres mais encore une fois, je ne partage pas votre avis sur le côté “supérieur” du livre au format papier.

    Et sinon pour votre solution, elle vient d’un “vrai livre” ? 😉

  4. Quand je parle de “vrai” livre, cela ne veut pas forcément dire format papier. J’oppose plutôt les billets de blogs de quelques centaines de mots et ceux qui pondent quelques centaines de pages. Après que ça soit papier, epub, pdf ou même html peu importe.
    Par exemple, quand je sors de la lecture d’un bouquin comme Unlabel par Marc Ecko, je suis autrement mieux inspiré qu’en parcourant ma veille de flux RSS des catégories “_var_ marketing”.
    Peut-être que je suis un peu trop blasé par toute la daube que je vois défiler sur les blogs, mais bon ça doit être l’âge qui me rend con et réac. Après 10 ans de SEO, ça me fait réagir d’observer que le moindre abruti muni d’un clavier pense faire des révélations extraordinaires.
    Après, on ne peut pas non plus pondre tout le temps LE billet qui claque, mais il y a un minimum syndical à respecter et je trouve qu’on est en-dessous de la limite acceptable en ce moment.

    Ma “solution” est juste une taquinerie car j’en ai usé et abusé de solutions pour pondre du contenu fastoche à la belle époque de la monétisation Adsense et affiliation.

    Par contre, 100% d’accord sur le conseil de s’aérer. C’est AFK qu’on trouve et surtout formalise les meilleures idées.

  5. @Laurent
    Je plaisantais pour la solution du “vrai livre” :-).

    Mea culpa pour l’interprétation du livre papier.

    Et si vous faisiez le ménage dans les blogs qui constituent votre veille ? C’est bon le changement aussi et surtout pour laisser la daube dans son coin plutôt que de lui donner de l’intérêt (et des visites).

    Par contre, de là à dire que vous êtes “con et réac”, c’est un peu poussé quand même … Vous avez l’expérience que je n’ai pas alors on a sans doute une façon différente de voir les choses et je suis certainement moins rongée par la mer(de)veille des SEO/marketeurs qui pullulent sur la toile.

    Je pense aussi que s’aérer est la meilleure solution. D’autant plus qu’en restant devant l’écran, on est vite distrait et frustré de ne pas trouver l’inspiration.

    Au passage, je vous invite à lire quelques uns de mes articles si vous avez du temps à perdre et des avis à émettre. Je suis preneuse :-).

    Merci d’avoir lu et commenté!

  6. Pas vraiment d’accord avec le fait d’attendre que ça vienne et faire autre chose en attendant. Parfois, cela vient justement en se mettant devant une feuille blanche 😉 Après c’est plutôt vrai en cas de flegme de s’y mettre que dans le cas d’une vraie panne d’inspiration.

  7. Rien que l’idée de faire le ménage dans mes flux me donne mal à la tête 😀
    Ce qui me donne encore plus la migraine sont les liens que je vois partagés sur Twitter et qui m’ont fait gaspillé un clic et quelques minutes de lecture.
    Cela dit, parfois les auteurs réagissent super bien à la critique et rectifient le tir. Je pense notamment à un billet sur ce blog (maillage interne). Sauf que c’est rare et la plupart s’enfoncent encore plus dans le déni.

    Pour ajouter my 2 cents sur le sujet, je recommande d’écrire, écrire et encore écrire. Perso, je publie peut-être 10% de ce que j’écris et en 2013 c’était plutôt 1%. Ecrire en ayant pour objectif la publication obligatoire n’est pas forcément une bonne technique. Prendre du plaisir à écrire d’abord pour soi-même permet de franchir rapidement des paliers supplémentaires.

  8. @Erwan
    Je pense que ça dépend pour qui. Pour ma part, je trouve qu’il n’y a rien de plus frustrant que d’être face à une feuille blanche quand l’inspiration n’est pas au rendez-vous.

    @Laurent
    Ce serait trop beau de cliquer sur des liens qui nous redirigeraient TOUS vers des perles!

    Pour ce qui est des critiques, tout dépend de la façon dont elles sont formulées et aussi selon les arguments avancés. Une critique n’est pas forcément négative, elle peut être positive voire constructive.

    En ce qui me concerne, j’écris spontanément et lorsque j’ai des choses à dire (évidemment) mais ce qui compte pour moi (et comme vous apparemment) c’est de prendre du plaisir à rédiger mes articles, qu’il fassent 100, 500 ou 1000 mots. Le contenu ne peut pas plaire à tout le monde mais après tout, c’est normal. J’essaye au moins de ne pas faire (ou bien peu) de phôte dortaugraffe (cadeau 😉 ).

  9. La technique que j’utilise désormais pour éviter les pannes, c’est de rédiger dans un coin un maximum de sujets sur lesquels j’ai envie d’écrire. Je les relis de temps en temps ou lorsque j’en ajoute de nouveaux. Et lorsque je me balade, je pense à ces sujets. Cela me permet, bien souvent, de venir devant la feuille blanche avec déjà quelques idées à poser.

  10. C’est Laurent Bourrelyer qui a raison: c’est en écrivant et en lisant que l’on devient forgeron, et non burelier, celui qui travaille dans les bureaux.
    Quand on est en panne d’inspiration, il faut disparaître dans des bouquins, des films, des projets ou certains posts qui donnent envie de se réinventer, comme ceux de Cynthia ou d’Alexandra.
    Bravo les filles.

  11. L’écriture est une souffrance, et la panne d’inspiration pour moi n’existe pas : tout ceci signifie simplement que je ne veux pas me forcer. J’éprouve malheureusement peu de plaisir à écrire car je n’aime pas fixer les choses, je préfère qu’elles continuent à vivre dans mon esprit.
    Ecrire est un acte total qui m’engage plus que de raison. Il s’agit de laisser trace de soi et même pour la rédaction de contenu web, pour des travaux de commande, je suis obligé de mobiliser toutes mes ressources intellectuelles et émotionnelles. C’est épuisant. Merci de m’avoir lu, ça va mieux!

  12. Hello,

    La panne d’inspiration…je pense qu’il faut surtout ne pas vouloir se prendre la tête quand on n’a plus “d’imagination” et essayer de se changer les idées.

    Je partage ton article, ça va aider quelques blogueurs que je connais.

  13. Article sympatoche.
    Mais je suis obligé d’avouer avoir pris plus de plaisir à lire les commentaires.

    Quelques réflexions en vrac, sans prétentions :

    Je suis d’accord pour les livres, j’ai trainé cette lacune assez longtemps pour confirmer. Et pour ce qui est des blogs, ce n’est juste pas le même format, donc incomparable pour ma part.

    Le vocabulaire, c’est aussi un entretien de tous les jours, et une affaire de curiosité je pense.

    A+

  14. Bonjour,

    Pour moi, chaque personne a ses propres méthodes d’inspirations.
    Même si je suis d’accord avec le fait de lire, de regarder ce qui se passe… je pense que le tout est de stimuler son imagination, de s’évader, de se libérer des problèmes qu’on peut avoir pour ainsi avancer par la suite.

    Pour ma part, ce qui m’inspire souvent, c’est simplement d’écouter ou de faire de la musique. Et c’est d’autant plus bizarre quand on se dit que ça n’a rien à voir avec le SEO ou le développement (Là où j’ai pu écrire/réfléchir le plus).

    Après, c’est clair que les écrits à haute valeur ajoutée fonctionnent beaucoup. C’est une valeur sûre pour trouver l’inspiration. J’en ai d’ailleurs fait l’expérience en lisant un bouquin SEO américain la semaine dernière.

    J’étais perdu, j’avais des tonnes de questions, je n’avançais pas dans ma tête et je me disais “Putin je suis vraiment qu’un nul”. Et puis j’ai commencé à lire ce bouquin, et une nouvelle vision des choses est alors apparue, et petit à petit ça se débloquait tout au long de la lecture… Et j’aurais très bien pu poster un billet sur un blog après ça.

    Enfin bon, tout cela pour dire : Faites ce qui vous fait avant tout plaisir. Un écrit qui sonne faux ou qui est forcé n’aura pas plus d’impact que cela. Montrez ce que vous avez dans le ventre !

    Merci pour cet article Cynthia et Alex !

  15. @Tout le monde
    Merci infiniment pour vos réactions ! C’est un réel plaisir de découvrir vos façons de penser et surtout de pouvoir vous répondre à chacun.

    @Erwan
    Absolument d’accord avec l’idée d’écrire ses idées dès qu’elles viennent en tête. D’ailleurs, c’est ce que je fais aussi.

    @Monica
    Je pense qu’on a tous raison dans le sens où chacun y trouve son compte à sa façon. En revanche, c’est vrai que plus on lit, plus notre esprit s’ouvre à de nouvelles sources d’inspiration (et notre vocabulaire s’en trouve également enrichi). Merci 🙂 !

    @Jean-Philippe
    Je suis entièrement d’accord avec ce que vous dites sur le fait que la panne d’inspiration n’existe pas. A moins d’avoir des problèmes personnels qui se mettent en travers du chemin de nos pensées. Nous pourrions reformuler en utilisant plutôt la panne de « rythme de publication fréquent ». Effectivement, écrire doit être (selon moi) un moment de plaisir et non de contrainte. D’ailleurs, je publie des articles lorsque j’ai quelque chose à dire et il m’est arrivé de devoir me forcer à écrire : résultat désolant.
    En revanche, le tableau est différent pour les agences et autres professionnels du SEO dans la mesure où ils doivent gérer des projets pour des clients, incluant la rédaction d’articles. Dans ce cas, c’est bien entendu une situation qui force la rédaction et où la panne d’inspiration est possible.
    Merci pour votre commentaire très intéressant!

    @Régis
    Je dois dire que je prends aussi beaucoup de plaisir à lire les réactions de tout le monde et à échanger avec vous tous !
    Quant à la comparaison entre un livre et un blog, j’ai déjà échangé plus haut à ce sujet avec Laurent Bourrelly.
    Pour le vocabulaire, vous avez raison. D’ailleurs, il ne faut pas avoir honte de ne pas connaître certains mots. Il faut prendre le temps d’en chercher la définition et de les utiliser dès que l’occasion se présente.

    @Arnaud
    Coucou, tu résumes très bien la solution 😉 ! Merci, si je peux aider, ça me fait toujours plaisir.

    @Thomas
    Salut ! Je te rejoins sur les méthodes. Il en existe un tas d’autres que je n’ai pas cité mais je suis restée vague volontairement dans la mesure où chacun sait comment se changer les idées, comme toi pour la musique (je fais pareil ;-)).
    Selon moi ce n’est pas bizarre, bien au contraire, ça me semble évident de pouvoir se « rafraîchir » les neurones en faisant autre chose qu’une activité qui fait partie de notre environnement professionnel. Encore une fois, tout dépend de chacun. Nous avons tous des centres d’intérêts différents en dehors du SEO.
    A propos des articles de haute qualité, je suis d’accord sur le fait qu’ils permettent d’enrichir notre vocabulaire et notre esprit d’analyse. Par contre, on peut aussi trouver son inspiration dans des textes complètement décalés, sans la moindre touche de sérieux, et pas seulement en lisant d’ailleurs, ce peut être au travers de photos, de dessins, de chansons … En somme, l’idéal (pour moi) est un mix de tout pourvu que ça m’intéresse, me détende, me fasse rire, etc.
    Ta conclusion résume parfaitement bien les choses pour ceux qui ont leur blog personnel mais pour les professionnels qui doivent rendre des comptes à leurs clients, le plaisir n’est malheureusement pas toujours au rendez-vous et il faut bien trouver des solutions 😉 !
    Merci à toi Thomas d’avoir lu et commenté !

  16. L’écriture est un jeu, un exercice difficile et une souffrance… Ce n’est pas toujours la panne d’inspiration qui est le pire ! Souvenez-vous des fois où vous aviez une belle idée et que vous n’arriviez pas à la transposer par écrit… Pourtant tout était bien clair dans la tête, l’accroche, les enchaînements mais impossible de mettre ça sur papier… Heureusement que ça se débloque souvent quelques heures ou quelques jours plus tard !

  17. Salut,

    Effectivement, le manque d’inspiration peut frapper à chaque instant, et même assez souvent pour ma part.Une méthode efficace que je tiens à proposer: le brainstorming, ou plus exactement un mini-brainstorming. Le truc, c’est d’en discuter avec un ou plusieurs personnes et d’étaler toutes vos idées tout en faisant attention de bien considérer les leurs. Un autre point de vue, rien de plus stimulant pour votre inspiration.

  18. Hello!

    Pas mal ce blog! La panne d’inspiration, ça m’arrive régulièrement. Pour ma part, quand je suis “bien dans ma tête”, ma plume coule comme de l’eau, en revanche, lorsque je me retrouve face à des difficultés (d’ordre personnel), je suis complètement “out”. Comme tu l’as dit, “on a beau essayer de se concentrer et se forcer”, on n’arrive pas à se lancer…
    Je vais appliquer tes conseils… et je ne manquerai pas de te faire part du résultat 🙂

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