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Avis de recherche #ADR 011 : les actualités SEO et pas que !

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Voici le numéro 11 de l’Avis de Recherche #ADR avec des actualités du digital, du search et du numérique ! Découvrez les moments forts de la semaine du 14 au 20 novembre : comment réussir en copiant les blogs qui cartonnent, l’index de Google qui connait 130 billions de pages, la victoire de Trump grâce à Facebook, la longue traine toujours efficace, le prestataire 2020 et son rôle… ! Bonne découverte :)

La Propriété en SEO, c’est le Vol !

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J’avais déjà longtemps cherché mais il y a quelque chose qui ne tournait pas rond dans cet Avis de Recherche. Après plusieurs nuits grises, j’avais le début d’un indice. Mais oui, bon sang mais c’est bien sûr ! Nos bureaux de recherche ferment le dimanche: donc pas une chance de faire écho au plus intelligent blog journalistique et sociétal du référencement français, à savoir AxeNet qui a la sainte habitude de publier le jour du seogneur.

L’agence de Sylvain Richard n’a besoin d’aucune flatterie. On commencera donc l’hommage longtemps retardé avec d’abord et sans fioritures l’article invité du 13 novembre, lu ce dernier lundi, dans lequel l’ami Medhi @blogboosterfr n’y va pas avec le dos de la cuillère (en argent) avec un sacré H1 qui arrache : « 13 trucs à voler immédiatement aux blogs qui cartonnent »

Même si je pensais n’avoir aucune chance de citer l’anarchiste Proudhon dans cette lettre, il a raison, la propriété c’est le vol, même en matière de SEO et surtout en informatique, depuis la nuit des premiers PC, du temps de Steeve and Bill: « Si Bill Gates avait abandonné Windows et avait essayé d’inventer autre chose, juste pour pas faire comme Steve Jobs. il ne serait jamais devenu Bill Gates. Au lieu de ça, il a pris ce qui marchait. Et il l’a amélioré. »

Finalement une grande ode ultralibérale toute autant que rebelle dans un sens, dans laquelle Medhi vous dira tout sur les Arsène Lupin du SEO, afin de voler sans un pixel de scrupule la thématique de votre voisin qui en jette, ou bien les mots-clés en or pourtant en expo gratuite sur tel ou outil, tout comme les backlinks qui en jettent, et puis (quelle barbarie) comment voler les idées d’articles de vos concurrents, leurs followers, leurs lecteurs, leurs produits, tout y passe… Mais peut-être tout de même un aspect de la conclusion nous reste en travers de la gorge.

“Réinventer la roue c’est débile… (bon là ça va encore)
Votre but c’est de réussir. Pas d’inventer. » (on ne sera pas aussi désabusé chez « ADR » mais c’était sans doute de la provoc). Pas grave, la recherche continue à bord de ce vol.

A lire chez AxeNet : 13 trucs à voler immédiatement aux blogs qui cartonnent

Google : + que jamais l’Oooogre du Web!

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Petit exercice de math ce mardi 15 novembre, section référencement, par la grosse tête du SEO français qui ne se la pète jamais: alors je pose 130 trillions de pages. Stop ! C’est quoi un trillion? Ben, bande de franchouillards, un trillion c’est un billion de ce côté si de la Manche.

Sauf qu’avec son flegme un tantinet britannique qui l’empêche de s’énerver vraiment et de donner des leçons à qui que ce soit, Mathieu Chartier ne vous dira jamais rien pour facilement vous impressionner une seconde. Alors ça fait combien un billion de pages crawlées par l’ogre mangeurs de pandas Google ? Bon comme n’importe quel penguin, j’ai trouvé sur GG combien ça fait-il:  1 billion = 1 milliard.

Donc dans l’estomac du moteur, indexées ou pas, digérées ou non, ont été malaxées 130 milliards de pages et la simple bagatelle de 100 milliards de plus en juste 3 ans ! Etonnant non? Moi j’ai plus faim, juste un léger renvoi… Et dire que dans 10 ans, ce chiffre paraitra un rot dans l’histoire de l’humanité.

On est vraiment peu de chose Matthieu.

A lire chez Internet-Formation : L’index de Google connait au moins 130 billions de pages

Very Bad #Trump et la San Francisco Parano

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Il y eut d’abord la grande sidération d’une élection qui Trump énormément, puis le souhait soudain d’un exil massif (mesuré par Google Trends) vers le Canada sans qu’aucun nouvel opus de Céline Dion n’ait été enregistré. Et puis boum badaboum, on commença à faire porter le chapeau, ou bien la moumoute jaunasse, aux médias, aux sondeurs, aux sociologues, aux psychiatres, et pourquoi aux pétomanes, en leur reprochant de : « ne pas avoir pris Trump au… sérieux ». Si, si, c’est hilar(y)ant.

Le pire fut à venir dès le 10 novembre: tandis que des milliers de manifestants scandaient “Not My President” au pied de la Trump Tower, un parfum lourd de parano commença à envahir la Silicon Valley qui appela le même jour à la résistance : “après l’effroi, des entrepreneurs du high-tech ont reconnu leur part de responsabilité, d’autres appelant à lutter pour défendre leurs valeurs”.

Le monde de la culture numérique battait donc sa coulpe devant un vieux beau des années fric incarnant plutôt la mytho Las Vegas à la sauce « Very Bad Trip ». On croit rêver… Mais le lendemain tombait sur Slate un “J’accuse” la high-tech et les Gafa, comme s’il avait été écrit sur la tablette d’Emile Zola.

En gros, Trump n’a pas seulement gagné parce la misogynie, le racisme et l’ultralibéralisme sont des fléaux de merde brune mais aussi parce que les réseaux sociaux et les moteurs de search ont relayé des infos complètement nazes ( c’est le cas de le dire). Selon New York Magazine: il a gagné grâce à Facebook.

« La façon la plus évidente dont Facebook a permis à Trump de mener sa campagne bien au-delà de ce qui était imaginable, c’est dans son incapacité ou son refus de traiter le problème des canulars et plus encore des informations fausses et fabriquées….. Pas moins de 170 millions de personnes consultent chaque jour Facebook en Amérique du nord. »

Et pas de bol dans ce portage de croix, le lendemain encore Facebook enfonçait le clou (dans le cercueil) de 2 millions d’utilisateurs annoncés (accidentellement) comme morts. A côté de ça « Série Noire » avec Patrick Dewaere est un dessin animé.

On se rassure ce mercredi 16 novembre, les maîtres du monde numérique auront déjà fini de culpabiliser. La parano ça fait prendre des cachetons qui font baisser le chiffre. Aujourd’hui les rois des Gafa, Facebook et Google, ont désigné les vrais coupables qui incidemment ont pu fabriquer le nouveau béret moisi de Donald : il s’agit des faux sites d’info, Oh My God, auxquels les dinosaures de la pub en ligne promettent une mort atroce et néanmoins rapide.

Dans une interview à la BBC, le patron de Google Sundar Pichai a reconnu qu’il y avait “eu plusieurs incidents” dans lesquels de fausses informations avaient été signalées “et nous n’avons pas pris les bonnes décisions. C’est donc un moment d’apprentissage pour nous et nous allons vraiment travailler pour régler ça”, a-t-il ajouté sérieusement.

Un moment d’apprentissage de la démocratie par Google en 2016? Oui je sais, vous gloussez : tout ça finalement n’a rien à voir avec parano ou mytho, le monde est déglingo.

A lire chez Slate.Fr : Trump a gagné grâce à Facebook !

Les Leçons US du Webmarketing

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Voilà ce jeudi 17 novembre, un billet qui remonte à point nommé, publié initialement l’avant-veille de l’élection américaine et qui complètera en chiffres, stats et donc beaux data le précédent article.

Une étude bluffante (c’est le cas de le dire) de Clément René, dans le sens où elle étudie limpidement les stratégies marketing de Clinton et Trump, mais surtout elle valide clairement le fait que les bonnes recettes du SEO transpirent à travers chaque pore des actions de campagne des candidats.

On y parle par exemple de la segmentation fine de son public (sa clientèle) pour une meilleure conversion, des réseaux sociaux (pour le meilleur et le pire), du slogan, contenu et arguments de vente, du tracking de ses actions marketing… Et pour finir, un cas d’école très efficace et surtout très cool puisqu’il s’agit d’Obama, en matière d’AB testing d’un site de campagne lui ayant permis avec sa meilleure variante (entouré de sa famille) de récolter 60 millions de dollars de plus…

A lire chez Kameleoon : Clinton vs. Trump : quelle est la stratégie marketing gagnante ?

Mariez-vous à la Longue Traîne !

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Mais où Olivier Andrieu peut-il ranger son tractopelle à infos SEO tellement il doit être énorme pour ramasser autant de gros dossiers et perles énormes. En l’occurrence chaque vendredi, c’est pas ravioli mais plutôt infographie au menu chez le svelte sumo du référencement à la française.

Et chaque semaine une bonne surprise, là on a droit à l’infographie qui fait rire sur un sujet ô combien sérieusement stratégique. Drôle parce qu’on a sans doute jamais pondu une aussi pointue et compréhensible BD sur un problème fondamental et même vital du SEO concernant tout site qui espère un jour n’avoir plus de visite à faire de son dentiste.

Parce que c’est la dentition de votre site qui va préfigurer son appétit, en gros et pour le devenir plus encore, plus vous misez sur un nombre de mots-clés élevé répondant aux requêtes de vos visiteurs plus vous aurez de visites, certes dans des domaines de recherche moins concurrentiels, mais sur lesquelles votre réponse sera plus précise et la conversion plus élevée.

Bref plus vous avez de dents et de mots-clés bien pensés dans vos titles, plus vous mangez. Parce qu’aussi ils sont encore trop nombreux à croire que c’est la HP d’un site qui ramasse la meilleure partie du trafic d’un site via des mots-clés beaucoup trop généralistes. Plus votre site compte de pages construites avec des keywords faisant sens et sémantiquement liés, plus il fera atterrir des requêtes de longue traine sonnantes et (peu) trébuchantes.

Voilà on finit par le début en explicitant le débat : courte traine ou longue traîne, that is the SEO question ! Pour imager le problème et dans le monde physique de ses magasins, le méga géant Amazon avait fait la révolution de la longue traine il y a déjà bien longtemps: une infinité de produits à peu d’exemplaires moins demandés que les produits phares font bien plus de marge et de CA. On connait la suite, il n’y a pas un américain à moins de 30 kilomètres d’un entrepôt Amazon en 2016.

Et pour replonger en pur SEO, cette infographie est parfaite parce que l’une des plus simples à comprendre sur un problème rationnellement ardu. Mais le résultat est bien là, pas la peine de jouer aux experts: la courte traine avec ses tablettes de chocolat et ses mots choc représente en moyenne 20% du trafic d’un site, alors que la longue traine avec ses recettes « blabla bla de chocolat bio bla bla via pays producteur de choco bio etc ba etc », représente 80% du trafic du site tourné sur ce thème. Traînez pas c’est ici :

A voir chez Wifeo : Infographie Seo : concept longue traine

Tout ce que Vous Devez Oser Dire sur le Numérique (et le SEO) à vos Clients

prestataire

Et on termine la semaine comme on l’a commencée, en satellite autour de blog.axe-net.fr qui guestblogue à donf’ en ce moment : profitez donc des grandes intuitions des invités de luxe de la maison Richard. Ce samedi c’est Françoise Halper qui démontre par A+B que l’accompagnement dans la stratégie de communication numérique d’une société est un devenu un travail d’orfèvre et que le choix d’un prestataire SEO n’est pas celui de n’importe quelle classe de sous-traitant. Le référenceur ou spécialiste numérique s’apparente souvent à une mission de démineur, alors que les métiers du digital pullulent et semblent simples à appréhender comme un post sur Facebook. Vous en parlerez à ceux de vos clients qui vous prennent encore pour un webmaster alors que vous leur parlez de contenu ou de balises.

Et puis surtout: si « l’existence numérique impose désormais cette maitrise et un pilotage les yeux rivés sur le paysage qui défile, pour coller au terrain, éviter ses pièges, prendre les bonnes directions… elle force aussi et surtout à une réinvention permanente. » D’excellentes raisons pour recourir à un prestataire, avec ce beau slogan sur le front(page) : « Optimiser l’influence numérique » de l’entreprise ! Le meilleur est pour la fin avec une belle mise en perspective de l’éthique du prestataire numérique, de sa culture et son caractère (jamais gras), dans l’univers algorifié des moteurs de search et tous leurs tremblements. Et puis enfin jusqu’où peut-on ouvrir sa gueule pour expliquer Googueule à son client ?

A lire chez AxeNet : Le « Prestataire 2020 »… à l’aune du numérique !

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 A la semaine prochaine pour des nouvelles aventures !
PS : les images proviennent des articles cités.S’il y a un souci, contactez-moi :)

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