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Interview Anthony Degrange, consultant seo

webcampday-2Commençons cette nouvelle semaine avec une interview décalée d’Anthony, consultant seo, avec qui j’ai eu l’occasion d’échanger longuement lors du WebCampDay d’Angers de cette année. Pourquoi dis-je “décalée” ? Car Anthony c’est un philosophe dans l’âme ..vous allez voir 🙂

Pour info, Anthony est déjà passé sur le blog avec un article invité sur le comment Optimiser son Quality Score sur Google Adwords. Bonne lecture et à vos claviers pour les commentaires 🙂

Qui est Anthony ?

Tout d’abord, bonjour à tous les « SEOnautes » et merci d’avoir accepté de m’accueillir sur ton blog Alexandra. Comme celui-ci bénéficie d’une grande notoriété, je vais tenter de te faire honneur autant que faire se peut.

Janthony-degrangee m’appelle Anthony Degrange, j’ai 26 ans et je travaille dans le référencement naturel depuis un peu plus de 3 ans maintenant. Au cours de ma si courte carrière professionnelle, j’ai déjà connu 4 agences web et/ou de communication « digitale » (je sais que ce dernier mot ne plaira pas à Sandrine du blog Gain de Temps alors j’emploierai le terme « communication numérique » qui, après vérification, semble davantage approprié) dans plusieurs régions différentes (la Bretagne, le Poitou-Charentes et la région parisienne). Vous l’aurez déjà remarqué, je suis le roi de la digression. C’est pareil quand il s’agit de manger… Bien souvent, je déguste l’entrée quand les autres en sont déjà au dessert 🙂 Ma lenteur est donc ce qui me caractérise en tout premier lieu. Mais j’estime que c’est une qualité qui se prête parfaitement bien au métier de référenceur. Maintenant, trêve de babillage et poursuivons.

Après des études littéraires spécialisées dans l’édition et les Métiers du Livre, complétées de deux stages réalisés, en librairie jeunesse pour l’un et chez Gallimard Loisirs pour l’autre, j’ai décidé d’abandonner cette voie pour m’acheminer vers un Master plus professionnalisant et, surtout, un cursus qui offrait plus de débouchés (chez Gallimard, j’ai eu l’occasion de rencontrer une personne qui en était à son 9è stage à 28 ans, c’est un peu décourageant). C’est pourquoi je me suis orienté vers les NTIC au lieu de continuer dans l’édition.

olivier-frankDans le cadre de mon Master, j’ai pu suivre les cours de référencement organique d’un certain M. Franck Larchey, certainement moins connu qu’Olivier Andrieu, mais qui officie dans le milieu depuis autant de temps puisqu’il a commencé en 1999 exactement. Bref, une vingtaine d’heures de cours aux côtés de ce pédagogue hors-pair qui m’ont permis de me décider sur mon avenir et de me lancer dans cette branche qui réunit toutes les facettes de ce que j’aime : le rédactionnel, l’artistique et la technique, même si, selon les structures, on n’exploite rarement les trois en même temps. Il en existe des plus ouvertes que d’autres. Au contraire, dans certaines boîtes, on devient vite « monotâche », ce qui rend le métier beaucoup moins intéressant. Heureusement pour moi, j’ai eu la chance de tomber sur des entreprises qui permettaient cette créativité, autrement dit, la transversalité des fonctions et des services. Je fais aussi bien des préconisations SEO que de l’audit ergonomique, je recherche de nouveaux partenaires pour mes clients ou je réalise du nettoyage de liens, je fais du Photoshop également.

Parallèlement à mes débuts dans le SEO, j’ai suivi des cours pendant plus d’un an en développement web, en vue d’améliorer mes connaissances dans le domaine. Un échec, même si ça m’a apporté une chose essentielle : j’ai appris à ne plus courir après des chimères et à me concentrer sur ce que je suis capable de faire réellement. Avant, j’étais un perfectionniste qui reculait à la moindre défaillance. Aujourd’hui, mes défauts ne sont plus des freins et je m’en sers pour avancer. Cette attitude m’a notamment permis de sortir mon blog après plusieurs années de diète. Enfin, mon dernier poste m’a donné l’opportunité d’approfondir mes connaissances en Adwords/Display.

En dehors du boulot, je suis passionné par les voyages et je suis un véritable collectionneur de livres. Mettre 100€ dans un beau livre ne me dérange pas dès lors que je suis sûr de détenir un trésor entre les mains.

Mes prochains objectifs : rejoindre le Canada anglophone en fin d’année pour y faire du tourisme et y travailler (j’ai obtenu le PVT 2014 par miracle). Dans le même temps, je compte me lancer dans l’auto-entreprise. D’ailleurs, si vous avez des conseils à prodiguer, je suis tout ouïe.

Voilà pour la synthèse, si l’on peut appeler cela une synthèse 🙂

Énumère-nous trois choses dont tu es particulièrement fier !

Avant toute chose, je suis particulièrement fier du chemin que j’ai parcouru. J’ai appris beaucoup en 3 ans et ce, malgré de nombreux échecs. Je pense notamment à la certification CESEO que j’ai passé en 2012. Deux tentatives, deux échecs. J’ai peut-être voulu me lancer trop tôt, je n’étais pas prêt encore. Mais c’était pour le bien de l’agence pour laquelle je travaillais à l’époque. Si je réessayais aujourd’hui, peut-être y arriverais-je, que sais-je ? L’avenir me le dira. Je réessayerai, au même titre que je passerai les certifications Adwords et Analytics quand le temps sera venu.

Aujourd’hui, je suis également fier d’avoir réussi à donner vie à mes rêves. Je vais vivre pendant un an au Canada, un pays que j’affectionne particulièrement depuis ma plus tendre enfance. J’espère pouvoir y trouver un travail dans mon domaine. Je pense partir à Toronto alors si jamais des personnes sont intéressées par mon profil, n’hésitez pas à me contacter.

Quelles sont les principales qualités et compétences qu’un rédacteur web doit absolument avoir ?

rédaction-webJe n’ai pas été rédacteur web à proprement parler. Je n’en ai pas fait mon métier. Je n’ai jamais été recruté pour ce type de poste. Néanmoins, comme tout bon SEO, c’est une compétence qu’on doit, à mon humble avis, posséder, ne serait-ce que de manière intrinsèque.

Aussi, dirai-je que pour être un bon rédacteur web, il faut comprendre le poids des mots et leur richesse. Les mots ont une histoire. Par exemple, le terme « énerver » tel qu’on l’entend aujourd’hui n’a pas la même signification qu’à l’époque des Jean Racine, Pierre Corneille et autres écrivains du XVIIè siècle. Alors que de nos jours, il prend le sens de « agacer » ou « exciter », il signifiait autrefois tout à fait le contraire, à savoir « ôter le nerf », « perdre de sa force ». C’est pourquoi je trouve utile qu’on prenne le temps de réfléchir sur les mots qu’on emploie, « numérique » au lieu de « digital » quand on parle d’une agence, pour revenir à la discussion du début de cet entretien et dont le débat avait été lancé sur Twitter il y a quelques jours par Sandrine, auteur du blog gain-de-temps.com.

Autre qualité essentielle au rédacteur web, la capacité de synthèse. En effet, un rédacteur web ne peut maîtriser tous les sujets (assurance, immobilier, comptabilité, finance, etc.). Néanmoins, il doit savoir parler de tout en réunissant un maximum d’informations dont il extraira l’essentiel. Assembler, composer, réunir, ordonnancer, comprendre, interpréter font partie de ces aptitudes. Sans oublier l’orthographe, la grammaire et la conjugaison qu’il doit maitriser à la perfection bien entendu.

D’autre part, le rédacteur web écrit toujours pour une cible spécifique. De son audience dépendra son discours. Il doit donc avoir de l’empathie vis-à-vis de ses clients pour retranscrire fidèlement le message qu’eux souhaitent faire passer. Il doit aussi être force de proposition et savoir imposer sa vision si nécessaire. Un discours équivaut à une cible spécifique. Il y a donc également une dimension commerciale et marketing dans ce métier.

Enfin, je dirais qu’il y a une grande part de créativité. Il faut parfois recréer un tout à partir d’un rien, ce qui n’est pas toujours évident. C’est une chose qu’on m’a apprise durant mes études de Lettres Modernes mais qui s’adapte bien ici : on ne dissocie jamais la forme du fond. Les deux sont étroitement liés. Aussi, n’écrit-on pas un article de blog comme on rédigerait un communiqué de presse ou une newsletter. Chaque support de communication doit respecter des codes bien précis.

Quelles règles éditoriales faut-il absolument respecter pour plaire aux deux cibles d’un site internet : les lecteurs et les moteurs de recherche ?

Je dirais :

  • Un contenu intéressant ni trop long ni trop court,
  • La hiérarchisation du contenu (Hn),
  • La mise en exergue du contenu et son organisation (mise en gras, citations, puces, images, tableaux, etc.),
  • L’usage de formats de présentation particuliers : la vidéo ou l’infographie notamment,
  • L’utilisation absolue de l’alternative textuelle aux images,
  • La proposition de liens relatifs/contenus associés (maillage interne),

Penses-tu que la rédaction web soit le principal critère pour un bon référencement ?

seoMaintenant que je tiens mon propre blog, je peux t’assurer avec certitude que non 🙂  Si je comptais uniquement sur la qualité des articles que je rédige pour faire venir les visiteurs, il n’y aurait personne sur mon blog.

C’est pour cette raison que je suis particulièrement actif sur les réseaux sociaux depuis 2/3 mois. Ça me permet de me faire connaître le temps d’être bien positionné sur Google. Ça monte petit à petit. J’obtiens des résultats encourageants malgré la jeunesse de mon blog. Je l’ai lancé au mois d’avril 2014 donc c’est tout récent. J’essaie de m’inspirer de mon quotidien en agence pour rédiger mes articles. J’essaie également de répondre à des questions qui m’intéressent particulièrement et pour lesquelles je me sens qualifié. Pas toujours évident quand on s’oriente uniquement vers des articles techniques.

Toutefois, une chose est sûre, une stratégie de contenu, jumelée à une activité intense sur les réseaux sociaux, peut permettre d’obtenir de bons résultats sur le long terme. Ce qui compte, c’est le signal envoyé par le site à Google. Après, ça peut évidemment accélérer les choses d’engager 2/3 collaborations avec des confrères comme on le fait ici dans le cadre de cette interview. Tout ça reste parfaitement naturel. C’est ce qu’on appelle le réseau. On part de zéro et, peu à peu, on noue des contacts, on se crée des opportunités. Si chacun reste chez soi, de son côté, sans s’intéresser à l’autre, on n’évolue pas. J’estime qu’on a tous besoin les uns des autres. Le réseau est pour moi l’un des principaux critères qui puisse servir le référencement d’un site. Parmi les critères les plus puissants selon moi, on retrouve aussi l’ancienneté du nom de domaine, la notoriété (lorsque la volumétrie de recherche sur la marque augmente d’une période sur l’autre par exemple, cela permet d’envoyer un signal fort à Google), les URL « SEO friendly », le méta title, le contenu on-page, les backlinks, le buzz social, etc. Ces critères sont pour moi les principaux facteurs de positionnement d’un site dans les SERPs quand ils sont maîtrisés et réfléchis.

L’arrivée de PANDA : qu’a-t-elle changé pour la rédaction web ?

google-pandaJ’ai très peu connu le SEO avant Panda. La mise à jour ayant été lancée en août 2011 en France, cela ne faisait que quelques mois que je débutais dans le métier, en avril de la même année exactement.

Néanmoins, je vais tenter de répondre à ta question. Qu’a changé la mise à jour Google Panda dans nos réflexes du quotidien ?

Quel que soit le projet, je dirais qu’on accorde désormais plus d’importance au contenu des pages web. Même si encore de nombreux clients semblent bien loin de ces conceptions, je pense que beaucoup de référenceurs ont pris conscience de l’intérêt de mettre au point une véritable stratégie éditoriale sur un site Internet. Au-delà du simple aspect contextuel, Panda a permis l’émergence de nouveaux critères tels que l’usage de la balise canonical, le maillage interne, la désindexation de pages pauvres en contenu ou de pages paramètres, l’architecture globale d’un site, la régularité dans la mise à jour des contenus, la prise en compte du passage des crawlers, etc. Quoi qu’on en dise, la mise à jour Panda a globalement permis d’améliorer la qualité des sites web. Mais, soyons honnêtes, rien n’est parfait ! Il n’y a qu’à voir certaines requêtes SEO sur lesquelles certaines pages vieilles de 3 ou 4 ans sont en 1è page alors que d’autres articles sur le sujet ont été pondus depuis, d’excellente facture qui plus est.

Avec le Not Provided, le Keywords Tools qui a fermé ses portes comment choisir ses mots-clés ?

Pour répondre à cette question, je te renvoie à mon article dédié sur le sujet : SEO et choix de mots clés. Celui de Sandrine Khou est encore plus complet : Choisir les mots clés pour le SEO.

Comment Hummingbird a changé tes habitudes dans la rédaction web ?

colibriSincèrement, pas grand-chose mis à part que je conseille à la plupart de mes clients d’identifier les questions susceptibles d’intéresser leur audience. Je leur demande de rédiger des articles du type « Comment… », « Pourquoi… ». Hummingbird a relancé l’importance de la longue-traîne dans une stratégie SEO. C’est pour cette raison qu’il est indispensable d’identifier l’ensemble des requêtes qui gravitent autour d’une thématique spécifique. En outre, je recommande également à mes clients la mise en place de formulaires de questions-réponses sur leur site. Ça fonctionne bien sur les thématiques suivantes :

  • Formation,
  • Droit/législation,
  • Esthétique/bien-être (chirurgie esthétique),

Que penses-tu des techniques style storytelling ou inbound marketing ?

StorytelingJe ne sais pas trop quoi penser… Ce ne sont pour moi que des concepts marketing, de jolis mots à la sauce américaine pour définir des idées simples.

Sur le plan personnel, je t’avouerais que je suis l’exemple type de l’individu sur lequel la publicité n’a absolument aucun impact. Je ne comprends d’ailleurs toujours pas pourquoi, en 2014, la publicité fait tourner le monde. Pourquoi les gens accordent autant d’importance à l’emballage d’un produit ainsi qu’au déballage commercial qui l’entoure ? J’imagine que ça fait entrer les marques dans les esprits. Néanmoins, je ne comprends pas en quoi le fait que Redbull donne des ailes va me faire acheter ce produit. J’ai acheté une fois, ça avait le goût de médicament, j’ai cessé d’en acheter, c’est aussi simple que ça. Alors, on a beau me persuader que tel ou tel produit a des vertus, je m’en contrefiche. Seuls la qualité du produit et son prix m’importent. Pour prendre un exemple, je trouve en effet fantastique la campagne promotionnelle réalisée par Oasis ces derniers temps. J’ai vu les publicités, j’ai ri. Je suis même allé sur Youtube voir leurs vidéos dans le détail. Pour autant, est ce que j’ai de l’Oasis en bouteille chez moi ? Pas du tout. Ça ne marche pas sur moi. C’est pareil quand il s’agit des publicités Adsense sur Internet. Je vais le mettre en place bientôt sur l’un de mes sites tout en étant complètement hostile à ce type de procédés. Je ne comprends d’ailleurs pas comment les gens peuvent encore cliquer sur les bannières en 2014, que ce soit dans le réseau Search ou le réseau Display. Je crois que c’est uniquement parce que je baigne dans le métier. J’ai dû passer de l’autre côté sans m’en rendre compte. McDonald’s et ses pubs en faveur du bien manger, du bio et cie, moi ça me fait bien rire. D’ailleurs, j’y vais le moins possible. Uniquement quand j’y suis obligé.

Pour revenir un peu sur le sujet, à savoir si je trouve les techniques de storytelling ou l’inbound marketing efficaces ou intéressantes, je dirais là encore qu’elles serviront favorablement une marque, la réussite d’un produit ou d’un service si ce dernier est de qualité.Après, dans la pratique, je sais que ce n’est pas toujours vrai.

Par exemple, je ne sais pas si vous vous souvenez de la campagne promotionnelle qui avait eu lieu autour du film « Paranormal Activity ». Pour le premier volet, l’équipe marketing était parvenue à nous vendre un excellent film qui terrorise, grâce à une excellente bande-annonce et le simple bouche-à-oreille. Je crois qu’on est tous d’accord qu’en vérité, ce film est un navet sans nom. Et pourtant, on en est aujourd’hui au quatrième opus. C’est ce qui me fait dire que, malgré la déception, ça marche toujours. Pourquoi ? Honnêtement, je ne sais pas. La bêtise humaine ? Peut-être. Toujours est-il que j’évolue dans un monde que je ne comprends pas toujours. Nonobstant cette défiance ou cette incompréhension, je suis sensé en comprendre les moindres contours. Pas facile !

Tu vois, selon moi, on sait tous que le storytelling et ce genre de choses sont des attrape-couillons. Que ça touche, que ça émeuve, je suis d’accord. Par contre, que ce soit le déclencheur d’un acte d’adhésion ou que ça fidélise, j’ai encore du mal à le croire. Toutefois, si je pouvais, je le conseillerais potentiellement à mes clients car il faut parfois mettre ses opinions de côté et accepter l’évidence. Le fait est que ce type de stratégie fonctionne auprès du plus grand nombre sans que je sache aujourd’hui pourquoi.

Autre chose pour la fin ?

J’espère ne pas vous avoir ennuyé avec mon récit et ne pas m’être écarté de mon sujet. Je ne pense pas avoir appris quoi que ce soit à qui que ce soit. J’espère au moins que cette interview soulèvera des questions. J’ai donc hâte de voir les commentaires pour faire avancer le débat en ce qui concerne certains points : Panda, Colibri, le storytelling, les critères de positionnement d’un site web, etc. C’est bien d’avoir le point de vue de tout le monde sur le sujet. Comme tu l’auras compris, je suis pour revenir aux origines d’un web qui prône le partage du savoir et des ressources.

Je profite également de ma venue sur ton blog pour annoncer la naissance de mon nouveau site, voyager-au-canada.com. Il devrait être opérationnel d’ici 2/3 mois même s’il est d’ores et déjà indexé dans Google. Ce site sera une sorte de carnet de voyage de mes aventures au Canada (photos, chroniques, bons plans, etc.). Si certains d’entre vous ont des questions concernant les modalités d’inscription au visa Tourisme-Travail, n’hésitez pas à me contacter, je vous répondrai avec grand plaisir.

Please wait...

12 réflexions au sujet de « Interview Anthony Degrange, consultant seo »

  1. Salut Toto !
    Je vois que 3 ans plus tard, tu es toujours un aussi grand philosophe :).
    En tout cas, même si je ne suis plus aussi actif que j’ai pu l’être sur les réseaux sociaux et sur le partage SEO, je ne pouvais pas ne pas laisser un commentaire sur cette (loooooooooooooooongue) interview :).
    En tout cas, je suis sur que Franck sera ravi de voir sa photo en grand à côté de celle d’Olivier Andrieu 🙂
    Sur ce, je vais me servir un petit verre d’Oasis et me chercher un McDonalds. Hésite pas à appeler si tu passes du côté de Lorient et bon voyage au Canada.

  2. Je te rejoint sur les spots Oasis ils sont à découvrir et à suivre j’ai même hate de les voir dans un film tellement les personnage sont cool “fraisebook” c’est intelligent comme compagne.
    Personnellement je suis pour l’arrivé de Panda et ce qu’il a apporter sur le contenue Web.

  3. Intéressante présentation, je ne reviendrais que sur un point. Tu dis ne pas être sensible à la publicité en donnant des exemples. Je crois pas que tu y sois si insensible. Certes, pour les exemples donnés, tu n’as pas été touché, mais cela ne veut pas dire que toutes les autres ne t’ont pas touché, même d’une manière que tu n’auras pas remarqué.

    La publicité, ça reste de la communication, le message étant “Hé regarde mon produit”. Alors même si absolument aucune pub ne t’atteint, tu es aussi influencé par des gens qui le sont.

  4. Merci de m’avoir accueilli sur ton blog Alexandra !

    Je voulais aussi remercier la “dreamteam” d’Experts Référencement pour les bons moments passés en leur compagnie.

    @JP : merci pour ton commentaire 😉

    @Yannick : je pense qu’on peut réellement être hermétique à certaines choses. En ce qui me concerne, j’insiste… La publicité n’a aucun effet sur moi. Rien qui ne m’engage à quoi que ce soit en tout cas.

    @Olivier : Toi en Alsace, lui en Bretagne, ça m’étonnerait que vous ayez le même coiffeur :p

  5. J’adore la jeunesse qui arrive, et comme qui dirait je ne sais déjà plus qui (çà s’arrange), le web a bcp changé (super le scoop), en fait à part wikipédia, tout le monde a sa chance (mince mais qui a dit çà, mes neuronnnnnes!).
    Sinon je suis toujours aussi fan du monsieur qui ressemble à Bartez, oups, j’ai osé taquiner.
    Biz la M!$$, et monsieur Degrange (je previens je suis mal rasé)

  6. Bonjour Alexandra et Anthony,

    Cette interview est très intéressante.
    En effet, je ne connais pratiquement pas Anthony, mais il s’avère que nous avons beaucoup de points communs, semble-t-il (digression, lenteur, jugement sur les publicités …etc…) et j’ai donc l’impression de me sentir quelque peu moins seul d’un coup! Lol
    Peut-être ne sommes-nous pas très sensibles aux publicités en général (certaines me touchent tout de même, soyons honnêtes), mais le commun des mortels y est très sensible.
    Le meilleur exemple dans ceux que tu cites, c’est bien Redbull! Je tenais un bar quand sa commercialisation a finalement été autorisée en France et je peux t’assurer que la publicité leur permet de vendre massivement leur merde au goût infâme, bourré de sucre et d’une molécule pas très recommandée pour la santé, à un prix qu’aucun soda n’a jamais réussi à se vendre jusqu’ici.
    Car c’est quoi cette boisson, si ce n’est un soda qui permettrait soi-disant d’avoir plus de tonus (absolument pas vérifié) au goût … vendu 4 à 5 fois plus cher que le Coca-Cola?
    Bref, j’espère que tu répondra favorablement à l’invitation que je t’ai lancée sur RankSeo.fr.

    Amicalement,

    Bruno
    Bruno TRITSCH Articles récents..Https: dilemme cornélien entre bon positionnement et confortables revenus AdsenseMy Profile

  7. Gasp! Un éthymologiste, lexicologue, universaliste et bibliophile: fallait trouver le spécimen par les temps qui courent (au moins aussi vite que Baumgartner sous Redbull 🙂 )

    Et oser se foutre du Storytelling tout en racontant sa life avec autant de verve, c’est une sacrée figure de style et un pied-de-nez majuscule.

  8. Je reviens d’une longue diète sans web, et je découvre ton interview, et je retrouve ta capacité à produire du contenu sans fin en toute cohérence … et ma tête d’ampoule à côté celle d’Olivier. Ca fait plaisir 🙂

    Et oui Olivier. Deux chauves dans un article, ça éclaire un peu la page, non ?

  9. Bonjour,

    J’ai découvert cet article après ta venu sur le forum RankSEO, en effet je comprend mieux pourquoi tu nous a invité à venir en savoir plus ici même.
    Un interview interminable mais très intéressante, comme j’ai dis sur skype aujourd’hui même, j’aime beaucoup ta façon de voir le net et monde du référencement, nous avons beaucoup de points communs et je pense même que dans l’avenir nous aurons peut être l’opportunité de travailler ensemble.

    Cordialement
    Jimmy

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