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Dépendant de Google ? 5 idées pour en sortir..

dependance-googleJe travaille avec Google tous les jours, je sais à quel point il est important d’être bien positionné sur ce moteur de recherche. La question n’est pas là, le problème réside dans la dépendance. Drogues, Alcool, Amour, Nutella, Coca-Cola ou Google, la dépendance est une chose vilaine. Ce n’est pas bon du tout ! Pour sortir de la dépendance vis-à-vis de Google, je peux vous donner quelques petits conseils, pour le reste, je vous invite à consulter votre médecin le plus vite possible. 🙂

Utilisez les réseaux sociaux

social-media-seoAprès les moteurs de recherche, la principale source de trafic, je pense, est constituée des réseaux sociaux. Et ça tombe bien, nous avons l’embarras du choix. Facebook, Twitter, Google +, Pinterest pour les plus connus et grand public.. Viadeo, LinkedIn, Xing pour les réseaux professionnels, … et beaucoup d’autres encore. Vous les connaissez tous, vous les utilisez peut être déjà tous, mais … vous vous posez peut-être encore cette question : pourquoi utiliser ces réseaux ?

La raison est simple : pour créer votre communauté, enrichir votre carnet d’adresses, partager des informations, des articles, rester en contact avec vos lecteurs… Les réseaux sociaux vous emmèneront du trafic ciblé, car normalement les gens avec qui vous êtes en contact partagent la même passion, ou ils sont intéressés par vos produits et services, ou vous connaissent tout simplement. Ces personnes ne devront pas rechercher votre site/blog sur Google, ils pourront soit cliquer sur un lien que vous avez partagé, soit simplement aller sur votre site en passant par la barre d’adresses de leur navigateur.

Les réseaux sociaux = autre source de trafic = un peu moins dépendant de Google.

Utilisez les sites de veille et curation

veille-seoLà encore il y a un petit bouquet de fleurs, de plateformes 🙂 Personnellement, par faute de temps, j’en utilise uniquement 3 ou 4. Je les ai choisis en fonction de leur potentiel de trafic, de ma cible et de mon domaine d’activité. Car bien évidement, comme pour les réseaux sociaux, il faut bien choisir ses sites de veille et curation.

Pourquoi les utiliser ? Pour les mêmes raisons que les réseaux sociaux : partager ses articles, ses infos… afin de récupérer du trafic. C’est simple, assez rapide, gratuit, ciblé, alors pourquoi s’en priver ?

En tout cas, si vous avez un blog et si vous cherchez des plateformes pour partager vos contenus, je vous propose d’essayer et de faire votre propre choix :

Secret to moteurs ScoopIt
Paper.li keepstream
Storify Tumblr
Pearltrees Pinterest
Instragram

Les réseaux sociaux + les sites de curation = plusieurs sources de trafic= un peu moins dépendant de Google.

Utilisez le guest blogging…

i-love-bloggingUn autre moyen de se faire connaitre sans passer par Google est d’utiliser le guest bogging comme moyen de promotion. Certes, cette méthode est plus chronophage, car cela consiste à rédiger un article pour un autre blogueur, mais les avantages sont nombreux : vous pouvez vous adresser à une autre cible que la vôtre, donc toucher un auditoire qui pourra devenir le vôtre dans le temps, vous pouvez bien évidemment vous présenter en tant qu’auteur donc vous faire l’autopromotion, et cerise sur le gâteau, mettre un lien vers votre site ou votre blog. Ce n’est pas merveilleux ça ? Moi j’aime bien cette pratique, l’échange humain qui est derrière… mais je l’avoue, à mon regret, je n’ai pas beaucoup de temps à y consacrer…

Les réseaux sociaux + les sites de curation + les guest blogging = plusieurs sources de trafic = un peu moins dépendant de Google.

Faites du linkbaiting

Il y a quelque temps, je vous ai parlé d’une autre méthode pour récupérer des liens : le linkbaiting. Il s’agit de rédiger pour son propre compte des articles uniques, originaux, intéressants pour capter l’attention de vos lecteurs.

Ces derniers feront ou pas naturellement un lien vers votre article en vous citant comme source.

Seul bémol, tout comme le guest blogging, il faut consacrer beaucoup de temps, de plus, ce n’est pas toujours évident de trouver LE SUJET qui fera l’affaire.

Les réseaux sociaux + les sites de curation + les guest blogging + le linkbaiting = plusieurs sources de trafic = un peu moins dépendant de Google.

Sortez de votre « cage » …

Parce que chaque aventure est d’abord humaine, je vous conseille d’aller à la rencontre de vos prospects, clients, lecteurs…

Créez votre propre communauté, échangez avec les autres, partagez votre passion, créez de VRAIES relations.Ce que je veux dire, ce n’est pas de faire le faux-cul (désolée), mais bien, d’humaniser les relations. Pour le faire c’est facile, accordez du temps à vos lecteurs, gardez le contact (mails ou réseaux sociaux), fidélisez-les, créez des partenariats, créez des relations privilégiées avec chacun. Vous verrez, c’est vraiment enrichissant comme expérience. Si vous ne savez pas par où commencer, vous pouvez vous « faire voir » au SEO Camp Day de Nantes le 26 octobre 🙂 qui vient ? Moi je serais présente 🙂

Les réseaux sociaux + les sites de curation+ les guest blogging+ le linkbaiting+les relatiuons privilégiées avec les lecteurs = plusieurs sources de trafic = beaucoup moins dépendant de Google.

Et le blog Miss Seo Girl dans tout ça ?

Vous voulez savoir si je suis dépendante de Google ? Eh bien, je pensais que Google était ma deuxième source de trafic, mais je me suis trompée. 🙂

En effet, les chiffres parlent d’eux-mêmes, la 1ère source de trafic pour mon blog est le réseau de microblogging : Twitter, ensuite le site de veille et curation Secret to Moteurs.

En 3ème position on retrouve Facebook et en 4ème position Scoop It. Google vient uniquement en 5ème position.

Pas mal je trouve, mais à cet instant précis, je me dis que je suis peut-être dépendante de Twitter? 🙂

Dans le top 20 des autres sources qui m’emmènent du trafic, on retrouve les réseaux sociaux professionnels : viadeo et linkedin, et quelques blogs de mes confrères, dont principalement avec le plus de visites lereferenceur, noviseo et blog-internet-formation.

Merci beaucoup à vous tous pour votre soutien !

Et vous : quels sont vos secrets pour garder votre indépendance vis-à-vis de Google?

Images libres de droit, source pixabay.com

Please wait...

33 réflexions au sujet de « Dépendant de Google ? 5 idées pour en sortir.. »

  1. Sur le fond tu as raison et des blogs SEO par exemple peuvent par leur propre nature avoir un univers de visiteurs et de sources de visites très divers. Mais pour le “commun” des sites web et bien GG c’est entre 60 et 80% de son traffic c’est presque impossible d’y échapper et c’est difficile de penser une stratégie qui ne soit pas basé sur GG, on sait bien que FB c’est un jour oui, un jour non twitter super pour un buzz etc… On peut arriver a n’avoir qu’une faible dépendance à GG sur certains secteurs mais dans son ensemble c’est impossible.

  2. Merci pour tes précieux conseils ! J’ai commencé à moi même me détacher de Google et à travailler en dehors, plutôt on-site, réseaux sociaux et professionnel, partenariat, … et je ressent la différence, je suis plus libre déjà et le nombre de devis signé est en forte croissance 😀
    Du coups, j’ai passé la barre des 50% de visiteur venant de sites référant et à peine 20% de l’ami …

    Rendez-vous le 26 octobre à Nantes pour ce nouveau SEO Camp Day.

  3. Bonjour Alexandra,

    Je vous félicite pour vos merveilleux articles. Et je ne peux que vous remercier pour ces idées pertinentes. Il est vrai que la majorité des navigateurs sur le web sont dépendants de google. Ces solutions de s’en débarrasser, de se libérer et “sortir de sa cage” me paraît l’idéal. Je vous donnerais des nouvelles après avoir fait des essaies!

    Bonne continuation.

    Amicalement.

  4. Sur le papier cela semble effectivement une bonne idée. Sauf que … pour le commun des sites faire vivre une page google plus, facebook et tuti quanti c’est énormément chronophage comme vous le disiez et donc très cher… avec très peu de retombées au final. Ce type de stratégie n’est selon moi envisageable qu’internaliser et ne peut faire partie d’un service seo à budget moyen.

  5. La dépendance des moteurs de recherche est très très dangereuse en effet mais dans certaines thématiques il est difficile de trouver d’autres sources génératrices de trafic ou d’agrégation.

    Mais j’ai une question, quel est pour vous le % d’alerte à partir duquel un annonceur devrait se considérer comme “trop” dépendant des moteurs de recherches ? 60, 70, 80% ?

  6. Bonjour Alexandra.
    et merci pour cet article qui est bien pertinent, mais qui s’attache à viser essentiellement les sites “classiques”. J’entends par classique, les sites qui ne sont pas des sites ecommerce qui proposent des produits à la vente sur internet. Pour ce type de sites, il y a encore de nombreuses sources de trafic qui permettent de ne pas être dépendant de Google.
    Je citerai simplement des sites de coupons de réduction, des sites de comparateurs de prix, etc.

    Aujourd’hui il faut être capable d’augmenter son trafic en allant chercher du lien en provenance de sites référents ou augmenter son trafic direct. Tout cela passe par l’augmentation de sa notoriété et comme tu le dis par la constitution d’une communauté et de contenus de qualité.
    Au plaisir de pouvoir te croiser sur Nantes le 26 et échanger sur le sujet !

  7. Tu as raison de parler d’une dépendance mais je pense que c’est surtout dû à une méconnaissance. A une influence également quand on entend parler par exemple que de Google et de Facebook. Merci en tout cas de nous avoir partager ces ressources utiles.

  8. Il en va de l’équilibre de ses sources de trafic comme de la diététique: il faut de l’équilibre et c’est bon la flotte (avec modération), il faut aussi savoir manger de tout et parfois c’est dégueu…
    Et à ce régime, la recette idéale c’est le linkbaiting, d’ailleurs y’a pas à mouliner, il suffit de voir ci-dessus le croquis de la divine pécheresse à la taille de mouche ou de guêpe, je ne sais plus.
    Effectivement comme dit dans les commentaires, draguer les réseaux et faire de la curation juste pour snober GG, c’est un peu faire de la plomberie pour les plombiers ou les fans de limonade.
    Par contre lancer sa plume comme un hameçon de son site e-commerce ou de son blog, guest-blogguer ou personnal-brander, c’est vraiment instrumentaliser sa pêche pour ramasser du gros poisson, avec ou sans GroGueule.

  9. Merci pour cet article ! Surtout avec tous les changements que Google a fait, je pense qu’il faudrait se détacher un peu de ce moteur et aller voir sur les réseaux sociaux, les blogs, les sites spécialisés, etc. (ou encore, d’autres moteurs de recherche) pour acquérir du trafic et des visiteurs.

  10. Bonjour Alexandra,
    Cela fait quelques fois que je viens sur ton blog et à chaque fois c’est avec plaisir que je dévore tes articles. Concernant la dépendance à Google c’est vrai qu’à ce jour on peut penser que c’est LA voie pour un meilleur référencement et un meilleur trafic. Je débute dans le monde du SEO et dans le cadre de ma licence pro RRW j’ai crée un blog. C’est vrai que je mise beaucoup sur Google, mais naturellement je n’ai pas négligé de communiquer et partager mes articles sur les différents réseaux sociaux. D’ailleurs suite à ces partages j’ai remarqué une nette augmentation de mes abonnés. concernant la veille, c’est en ” la pratiquant ” que je suis tombé sur ton blog :). Me reste à élargir le cercle de mes connaissances, de créer des relations avec d’autres blogueurs et blogueuses. Bref encore beaucoup de travail !

    Encore merci pour ton article

    Cédric.

  11. Bonjour,
    En tant qu’e-commerçante je travaille à faire venir les internautes aussi via des médias dits “classiques” tels que la presse écrite régionale, nationale, des radios…Vous augmentez ainsi vos visiteurs sans passer par la case “Google” ou tout du moins, ces visiteurs tapent le nom de votre site directement. Je préconise ainsi de “sortir du web” pour chercher ses visiteurs.
    Bien cordialement.

  12. Bonjour Alexandra,
    Félicitations pour cette « relative » indépendance vis-à-vis de Google.
    Le nombre de visites provenant de twitter est impressionnant. Bien sur la thématique est importante. Tous les SEO (ou presque) sont très actifs sur twitter ! Pour moi, spécialiste du jardinage, twitter est moins important : les jardiniers twittent peu ! Il doit néanmoins être possible de mieux cultiver l’outil twitter (en y rajoutant du compost et de la consoude).
    Le chiffre qui m’a le plus étonné c’est scoopit. J’utilise cet outil pour la veille mais cela s’arrête là.

    En effet je crains que rapidement Google considère que scoopit et les autres outils de curation fassent son boulot (et donc les pénalise). Je vois cela dans un horizon relativement proche : 1 à 2 ans, j’espère me tromper. Qu’en penses-tu et qu’en pensent tes nombreux lecteurs ?
    J’ai peur que Google considère rapidement aussi que les outils de curation sont du duplicate content. Quel est ton avis ?
    Je souhaiterai que tu expliques, par exemple dans un prochain article, ta stratégie scoopit. Tu as des boutons twitter, Facebook et autres en haut de tes pages et pas scoopit, pourquoi?
    Tu proposes de relayer tes articles sur twitter, Facebook et autres mais de nouveau pas sur scoopit. Pourquoi?
    J’ai regardé ta page scoopit. Dans tes scoops il y a principalement des articles de ton blog. Dans ce cas, je me demande pourquoi s’y abonner ? Ne devrais-tu pas y rajouter plus d’articles provenant d’autres sites pour que la page devienne un bon outil de veille ?
    Merci d’avance pour tes réponses
    Maxime

  13. Et puis la bonne nouvelle, c’est que si l’on met en application les recommandations que tu donnes ici, même si elles ne donnent pas de résultats direct, elles auront servies pour le referencement naturel. En d’autres termes, si on n’arrive pas à se sortir de la dependance, et bah au moins on l’aura un peu plus accentuée :p

  14. Tout dépend de la stratégie que tu souhaites mettre en place, je pense. Pour avoir joué au jeu du positionnement sur “blog SEO” pendant un moment (avec un succès mitigé mais dont je ne me plaignais pas : j’ai oscillé entre la 2e et la 5e position pendant un an), je m’étais fixé l’objectif de ressortir précisément dans Google avec ce mot-clé. Je n’ai jamais vraiment joué d’autres cartes, n’était un peu de linkbaiting dans Twitter à l’époque. Toi visiblement tu as une stratégie multiple, et c’est encore mieux car beaucoup plus complet !
    Chaque entreprise devrait se poser les questions que tu soulèves ici, certaines se rendant compte (je parle de certains clients que j’ai eus) un peu trop tard qu’un positionnement dans Google sur un mot-clé (qui reste l’exigence N°1 de mes clients) n’est pas nécessairement un priorité pour obtenir un trafic ciblé.
    Il y a un bon moment que je parle de la notion de l’existence de plusieurs “webs parallèles”, et je pense que ce que tu décris entre dans cette vision des choses sur laquelle je m’appuie.

  15. Merci pour tes conseils Alexandra, tes astuces et ta passion commune pour le SEO. Je viens de découvrir ton blog que j’ajoute dans mes favoris. Go go SEO

  16. Bonjour Alexandra,

    sur le fond je suis à 100% d’accord avec toi, le web a dorénavant beaucoup de ressources pour se libérer du joug de Google.

    Le choix étant de mettre en avant toutes ses actions pour arriver au même résultat ou mieux qu’en plaçant Google au coeur du projet … Et là bien souvent, le client n’est pas prêt à faire ce “sacrifice” car il n’a que le dieu Google à la bouche, forcément ! 😉

    Ainsi, il y a un vrai travail de notre part à effectuer pour “éduquer” notre clientèle dans ce sens car c’est pour moi très dangereux de laisser Google prendre la majorité de la part de trafic d’un site.

    Après sur la forme, je suis comme tout le monde : ça dépend du projet et donc du site. Certains ont un budget pour aller sur tous les tableaux, d’autres non et il faut donc faire un choix en conséquence.

    En outre, sauf erreur de ma part, dans le tableau des sources que tu montres, ce n’est que le classement du trafic en fonction des sites référents et non pas le classement des sources de trafic de ton blog tout confondus (organic et referral).
    Pour avoir cela, c’est dans l’onglet Sources > Tout le trafic. 🙂

    Bref, bel article qui a le mérite de faire réfléchir et de se poser la question sur la Google dépendance alors merci ! 😉
    Nicolas Augé Articles récents..Retour sur le VLC 2013 – 2ème partieMy Profile

  17. Cet article est très pertinent en effet! J’ai pu faire quelques découverte, notamment au niveau de la provenance du trafic, c’est vrai que je m’étais beaucoup focalisé sur Google jusqu’à maintenant alors qu’il y a tellement d’alternatives!
    Merci beaucoup pour ce partage d’informations.

  18. Bonjour Alexandra,

    Bravo pour l’article! Je suis tout à fait d’accord avec les idées proposées surtout l’utilisation des réseaux sociaux. Ils faut que plusieurs navigateurs admettent que beaucoup de sites concurrents sont plus performants que google. Par exemple, la boite de messagerie Outlook possède une capacité de stockage des mails plus grande que celle du Gmail. Tout est une question de “sortir de sa cage” comme vous l’avez dit.

    A bientôt Alexandra!

    Cordialement.

  19. Bonne article ! Les vidéos youtubes et les articles de blog sponsorisés par un produits est un bon moyen de se faire connaitre et gagner de la E-reputation voir quelques backlinks de qualités.
    Un client à couplé une campagne emailing d’acquisition sur plusieurs mois avec une dizaine de partenariat avec de grosses youtubeuses pour des vidéos sponsorisés et le ROI a été excellent.

  20. On tourne on tourne et on revient sur Google , il faut pas nier que Le géant reste le meilleur moyen de se positionnée et de rester up to date , tous les chemins parallèles ou alternatives comme réseaux sociaux et autre que vous avez cité ont fait un bond depuis que les mis à jours de Google se sont mis au sérieux et ont passer l’aspirateur sur tous ce qui louche

  21. Lutter contre cette dépendance vis-à-vis de Google est simple, en résumé :

    > Utiliser d’autres moteurs et inciter les internautes et ses clients à faire de même,
    > Utiliser les réseaux sociaux, les forums et autres outils de recherche alternative
    > Utiliser les médias offline : radio, presse écrite, affichage lieu publics,
    > Faire marcher son réseau physique : famille et amis, collègues
    > Ne plus penser Google ni parler Google
    > Faire en sorte que cette dépendance ne se reproduise pas : inutile de quitter le tout-microsoft pour se jeter à corps perdu dans le tout-Google !

  22. le blogging pour apporter une approche différente du produit au lecteur, les réseaux sociaux qui sont un point de rassemblement indispensable, les pinterest et instagram pour une information plus graphique… ce sont en effet des sources de trafic importantes, mais comme il est déjà dit plus haut dans les comm, on revient toujours à google 🙂

  23. @Mathis : ce que tu dis est très irréaliste. Ca sent plutôt le backlink gratuit. Alors je vais spinner ma réponse et la garder au cas où je tombe sur un message similaire. 🙂

    Tu dis que lutter contre {Google|Big G} est “simple”. Cela me semble {étrange|bizarre} de la part d’un {SEO|référenceur|webmarketeux}. Pendant que tu passeras ton temps {à convaincre tes|à t’acharner pour convaincre tes} {clients|visiteurs} de changer {leurs habitudes|leur comportement}, les {concurrents|autres entreprises} auront tout le loisir de te piquer le {CA|chiffre d’affaires} et des places dans {les SERP|le classement Google}.

  24. @tamago , vous avez bien réagi aux propos de @Mathis ; mais d’abord qui t’a dit qu’il est “referenceur ou webmarketeux ” parce que on ne peut pas ne plus penser à Google ou parler de Google, ça relève un peu, pas q’un peu de l’impossible pour le SEO
    Bref c’est simple comme prétend Mathis on peut pas pour le moment lutter contre le monstre car il peut tous nous bouffés

  25. C’est très difficile de se passer de google puisqu’il est dominant. Concernants les mentalités d’internautes, ce n’est pas près de changer. Tous les services qu’il propose les incitent à ne pas pouvoir se passer de lui. Je recherche aussi le moyen d’en être moins dépendant.

  26. Bonjour tout le monde,
    je suis d’accord avec ce que tu nous présente ici, mais comme on le sait, la clientèle n’a d’yeux et d’oreilles que pour Google même si les réseaux sociaux sont aussi important a mon avis…
    @Nicolas Augé, tu a trés bien choisis le terme “éduquer” parce que c’est délicat d’expliquer au client que Google n’est pas le seul a ramener du traffic comme on le voit sur le schéma camembert de ce blog.
    PS @Nicolas Augé: le classement des sources de trafic est dans le schéma camembert. 🙂

  27. Peut-être qu’avec le 100% Not provided qui nous pend au nez, les référenceurs vont naturellement regarder si l’herbe ne pousse pas plus verte ailleurs ? Arriverons-nous à ne plus dépendre d’un seul acteur qui pour l’instant fait la pluie et le beau temps ?
    Rendez-vous dans 1 an pour voir comment tout cela aura évolué. Serons-nous toujours autant google_dépendants.

  28. Les moteurs de recherches alternatifs à Google ne servent pas à grand chose dans la sphère francophone, les gens normaux utilisent tous Google.
    Après, vous avez raison sur l’importance des réseaux sociaux et autres blogs…

  29. Moi je trouve que c’est impossible de se débarasser de google ! il fait partir de la trilogie de la vie informatique de l’individu, google, facebook et gmail.

  30. Le meilleure moyen de quitter google pour de bon est d’utiliser la publicité via régies mais encore faut-il avoir un produit à vendre sur son site. Mais si tel est le cas rien de mieux que d’oublier les moteurs et de court-circuiter directement via la publicité cpc, cpm ou même popup!

  31. Excellent ! Nous on est encore assez dépendant de google niveau source de traffic malheureusement 🙁

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